Cette année, nous avons accueilli un nouveau principal adjoint. Comme nous ne le connaissions pas avant, nous avons pris l’initiative d’aller à sa rencontre.
Où étiez-vous avant ?
– J’étais dans l’académie de Strasbourg de 2010 à 2017, puis à Valences de 2017 à 2019 et maintenant ici, à Jean Monnet.
Comment devient-on principal adjoint ?
– D’abord,il faut passer un concours de l’Education Nationale en commençant par être professeur ou CPE. Ensuite il faut monter en grade. Pour ma part, j’étais CPE.
En quoi ce métier consiste-t’il ?
– Cela consiste à gérer l’organisation de l’établissement : l’organisation pédagogique comme gérer les emplois du temps de chaque classe, les conseils de classe, gérer les devoirs faits ainsi que le suivi des familles. J’organise aussi des réunions avec les parents, les AVS sans oublier le Brevet.
Qu’est-ce qui vous a poussé à choisir ce métier ?
– C’est le fait de pouvoir travailler avec tous.
Vos anciens établissements vous manquent-ils ?
– Nous sommes toujours attachés à chaque établissement, mais nous pouvons toujours prendre des nouvelles de nos anciens collègues. Mais maintenant je me concentre sur le collège Jean Monnet.
Voulez-vous apporter quelque chose de nouveau à cet établissement ?
– Lorsqu’on arrive dans un établissement, nous voulons toujours que tout se passe le mieux possible, mais en premier, il faut apprendre à connaître l’établissement et ceux qui y travaillent.
Y a t’il des différences entre établissements ?
– Tout est différent que ce soit les élèves ou les filières.
Avez-vous un message à faire passer aux élèves de cet établissement ?
– « TRAVAILLER »: être présent et dépasser ses limites.
– Faire confiance aux professeurs.
– Etre ambitieux.
Cécyllia Vroland et Kchouk-Plichon Sirine 3°6